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Connaissez-vous les inoculants Biotal?

Végétal •

Beaucoup d’efforts sont déployés aux champs pour produire des fourrages de qualité. Il faudrait ensuite s’assurer de les conserver...

En général, 2018 n’a pas été des plus généreuses sur le plan des rendements en fourrage. Dans ces circonstances, chaque kilo de matière sèche compte et il existe une panoplie d’études visant à démontrer le rôle des inoculants Biotal à cet égard. Il est primordial de limiter les pertes de matière sèche, qui se situent à différents niveaux :
Trois produits de la gamme Biotal permettront d’atteindre les objectifs en matière de conservation de la matière sèche : Biotal Supersile, Biotal Plus et Biotal Buchneri 500. Ces inoculants favorisent tous une baisse rapide du pH grâce aux bactéries Pediococcus Pentosaceus 12455 qu’ils contiennent. Ces bactéries homofermentaires sont les plus performantes parmi 8 000 espèces testées. De plus, il leur est possible de réduire les pertes en protéine d’environ 3 %. Il est donc important de traiter l’ensilage de foin ou de maïs, peu importe la méthode d’entreposage.

À ne pas négliger, certains inoculants Biotal améliorent la stabilité aérobique. En effet, le Biotal Buchneri 40788 ainsi que le Biotal Buchneri 500 contiennent 400 000 colonies de la fameuse bactérie Lactobacillus buchneri 40788. Ce qui la distingue de ses compétiteurs est la souche de Buchneri ainsi que le nombre de colonies plus élevé. Le développement de levures et moisissures est aussi limité par l’utilisation de ce type d’inoculant. Une étude réalisée sur l’ensilage de maïs de 28 fermes démontre bien les avantages du Buchneri 500 à ce niveau : Ensuite, nous ne pouvons passer sous silence le fait que tous les inoculants Biotal contiennent des enzymes. Elles sont utilisées pour dégrader la fibre et augmenter l’apport de sucres fermentescibles aux bonnes bactéries.

En résumé, les avantages de traiter au Biotal sont nombreux :

  • Moins de pertes de matière sèche
  • Plus de nutriments pour vos vaches
  • Augmentation de la digestibilité des fourrages
  • Augmentation de la consommation volontaire de matière sèche
  • Diminution des problèmes de santé (mycotoxines et moisissures, etc.)
  • Maximisation de l’utilisation des fourrages
  • Aller chercher l’optimum des champs (en évitant les pertes)
En conclusion, il ne faudrait pas négliger la base : récolter à maturité et humidité optimales, ajuster la longueur et la hauteur de coupe, minimiser les cendres, compacter adéquatement, remplir rapidement, bien sceller les silos ou enrober les balles rondes dans les quatre heures, ainsi qu’avoir une bonne gestion de la reprise…


JUDITH FRANCOEUR, agr.
Directrice de territoire
Semican inc.

YVES LANDRY
Conseiller principal technique
Lactech inc.

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